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Une musique religieuse ?


Un langage nouveau ?


Notice "Les âmes perdues"


Notice "Comme une étoile ..."


Notice "La rose inaccessible"


Notice "Un peu plus d'élan .."


Notice "Plus près de l'infini"


Notice "Vers la simplicité"


Notice "Double concerto"


Ecouter

lecture    Les âmes perdues

 

lecture    Derrière l'ombre des douleurs

 

lecture    Le Tournoiement des songes

 

lecture    L'échelle de la beauté

 

lecture    A ciel ouvert

 

lecture    Voyage au gré des illusions

 

lecture    Double concerto

 

lecture    Comme une étoile du matin

 

lecture    La rose inaccessible

 

lecture    La colombe et le lys

 

lecture    Un peu plus d'élan et d'innocence

 

lecture    Les Noces d'Orphée

 

lecture    Trio clarinette, alto et piano

 

lecture    Behind the light

 

lecture    Eloge de la folie

 

lecture    Plus près de l'infini

 

lecture    L'oiseau d'éternité

 


Double concerto
pour violoncelle, piano et orchestre de chambre

«Plus de liberté, plus d’assurance, de vigueur et, ce qui est essentiel,
la découverte d’un nouvel état : l’élévation extatique intense,
une sorte de prière intérieure, solennelle et intime en même temps.»
Valery Arzoumanov (1993)

Le Double Concerto, composé en 1992, se présente comme une gageure : écrire une œuvre concertante d’assez grande envergure (environ 25 minutes) sur les seules notes de l’échelle de Do majeur. Des sept notes diatoniques découle une mesure à sept double croches qui sert de cadre au motif rythmique principal croche-croche-croche-double, omniprésent tout au long de la composition, et souvent traité en ostinato.

Ces particularités de détail, qui peuvent être rapprochées des courants minimalistes ou répétitifs, sont fondues dans une grande forme qui cherche à démultiplier les facettes du matériau initial : expressivité lyrique, rythmes ludiques, séquences contemplatives... En dédiant ce concerto à la naissance de son premier enfant, Paul-Aimé, le compositeur a laissé libre cours à un sentiment de joie, et favorisé l’élan, la luminosité, dans une sorte d’effervescence juvénile. De manière générale, en simplifiant le matériau harmonique par la suppression de toute altération, le compositeur laisse éclore une énergie nouvelle.

L’orchestre comprend un orchestre à cordes et deux instruments à vent, flûte et hautbois, qui dessinent à l’arrière-plan les contours d’un autre double-concerto...